La curiosité n'est pas toujours un vilain défaut, mais parfois aussi l'intérêt que l'on porte aux autres.
J'ai donc quatre Simar: un type 40B acheté par mon grand-père en 1957, un type 40C acheté par mon père en 1961, un type 66DDH acheté par mon père en 1965 et enfin, un type 222R à moteur Sachs Stamo 281, que m'a donné un collègue de mon père.
Les 40 sont en état de marche, le 66DDH est très fatigué et le moteur est à reconstruire( le mieux serait de le changer mais les moteurs Hatz sont très chers). Le type 222R n'a pas beaucoup fonctionné mais les doigts de la fourchette de commande de la fraise étaient usés et donc j'ai fait reconstruire cette commande, toujours chez Dupuy en Dordogne. Il me faut remonter tout cela,
mais je n'ai pas autant d'entrain que par le passé pour la chose. J'ai fait, bien sûr de la mécanique, surtout sur mes 40. Toutefois, comme la mécanique n'est pas mon métier, je réfléchis très longtemps avant de prendre une clé!
Mon père a eu un 56A, que je regrette de ne plus avoir.
Comme les fabrications mécaniques italiennes m'ont toujours enchanté, j'utilise un Ferrari 340 (Acme 340 ACT) pour mon potager, à la grande joie du concessionnaire local, content d'avoir rencontré un allumé de mon espèce sur son chemin. Comme dit notre ami Stefano, le seul problème de ce dernier, c'est qu'il est vert et non rouge et qu'il lui manque l'écusson avec le petit cheval cabré!
Il y a une question qui revient sur ce forum et à laquelle nous n'avons pas de réponse, c'est la (les) référence du vert Simar pour les engins disons d'après 1948.
Alain.